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  • : Petites croix, cuisine, voyages, photographie, mon parcours pour devenir assistante maternelle, mon installation dans l'estuaire de la Gironde, mes premiers pas au crochet ... Vous trouverez tout cela, et bien plus encore, sur mon blog ! Bref, venez vite, il y a plein de choses à découvrir et pour tous les goûts !
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28 mars 2011 1 28 /03 /mars /2011 13:14

Dans le champ de l'addictologie, et plus particulièrement de l'alcoologie, l'ANPAA s'attache à promouvoir une démarche globale de santé auprès de divers plublics.

La consommation d'alcool au cours de la grossesse est la cause majeure de reatd mental d'origine non génétique ainsi que d'inadaptation sociale de l'enfant.

Le saviez-vous ?

1. La barrière placentaire n'arrête pas l'alcool, ni les autres produits psychoactifs.
L'alcoolémie de la mère devient celle du bébé.

2. Lé bébé élimine plus lentement l'alcool que la mère.
Le foie du bébé n'est pas prêt à éliminer l'alcool.
Le bébé sera donc plus longtemps vulnérable à la toxicité de l'alcool.

3. Une consommation régulière et modérée d'alcool (ex : 1 à 2 verres par jour) est déjà nocive pour le foetus.
Quelle que soit la consommation d'alcool par la femme enceinte, elle peut provoquer une malformation ou une anomalie du système nerveux central : troubles du comportement, de l'apprentissage, hyperactivité, accouchement prématuré, petit poids de naissance...

4. Il n'est pas bon de boire de la bière pendant l'allaitement parce que cela fait monter le lait.

En effet, la bière est un alcool et passe donc dans le lait de la femme allaitante.

Le bébé est tout aussi vulnérable que le foetus.

Syndrome d'Alcoolisation Foetale

C'est la forme la plus grave des atteintes de l'alcool pendant la grossesse. Il associe généralement :

* Un retard de croissance intra utérin,
* Une dysmorphie crano-faciale caractéristique,
* Des anomalies du système nerveux central.

 

Sources : A.N.P.A.A. (Association Nationale de Prévention en Alcoologie et Addictologie)

 

**** Article programmé ****

 

Prenez soin de vous, de votre santé, ainsi que de la santé de votre bébé !

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21 mars 2011 1 21 /03 /mars /2011 13:02

Il y a les abeilles qui lorgnent sa grenadine, les tiques tapis dans l'ombre et les coups de chaleur qui finissent aux urgences...
Pourtant, il suffit parfois d'un bob, d'une paille et d'un pot de chambre pour éviter de gâcher ces belles journées d'été.

Que vous partiez ou non en vacances, vous mettez de temps à autre le nez dans le contenu de votre trousse de secours pour vérifier l'état de votre stock de dosettes de sérum physiologique et de pansements, la date de péremption de l'antipyrétique, de la crème solaire, du désinfectant cutané et de vos sachets de solution de réhydratation orale (SRO). C'est bien !
Mais la prévention ne passe pas uniquement par des produits achetés en pharmacie.
Zoom sur les autres indispensables pour profiter d'un bel été.
Liste non exhaustive !

* Une boîte à savon hermétique et la savonnette qui va avec dans votre sac à main, c'est pratique lorsque les sanitaires du camping ou du glacier en sont dépourvus.


http://www.savon-de-marseille-boutique.com/images/references//illustration/30/30/produit_30_20080624142341_img.jpg On a pris l'habitude de se savonner les mains pour faire barrage à la grippe, on continue pour limiter conjonctives, diarrhées, oxyuroses, etc.
* Un chapeau à large bord, pour protéger les crâne, mais également le cou et les yeux.
Dommage pour le bandana noué sur la nuque façon corsaire, adorable, mais insuffisant !
Pour préserver la vue durablement, pensez aussi à offrir à vos enfants des lunettes solaires de qualité, à montures enveloppantes.
La rétine des tout-petits et des adolescents reçoit bien plus de rayons UV nocifs que celle des adultes, alors non aux lunettes gadget qui protègent "pour de faux" !

* Une comptine et un T-shirt de couleur claire.

Sur l'air de "Fais dodo", chantonnez à votre enfant cette "ritournelle pour le soleil" :

Il fait chaud,
Le soleil est là !
Il fait chaud,
Vite protégez-moi !
Il faut de la crème,
Il faut un maillot,
Chapeau et lunettes,
Et boire beaucoup d'eau !
Il fait chaud,
Le soleil est là !
Il fait chaud,
Vite protégez-moi !

 

Plus facile de respecter les règles de prévention quand ça passe par le jeu, surtout en pleine période d'opposition !

C'est essentiel surtout lorsque l'on sait que les coups de soleil de l'enfance, même s'ils semblent peu important, peuvent être à l'origine des cancers de la peau à l'âge adulte.

Rappel : ne jamais exposer les bébés directement au soleil. Quelque soit l'âge, ne jamais prendre le soleil entre 12h et 16h et penser à la consulter sur le site de Météo France l'index UV de votre ville. Ce n'est pas parce que le temps est couvert que le soleil n'est pas dangereux.

* Pipi : sur l'herbe tondue ou sur le pot !

http://www.pixelcreation.fr/fileadmin/img/sas_image/galerie/design/selection_observeur2008_05/648-Pot-B%E9aba.jpg

L'été, c'est le moment idéal pour tomber la couche et "faire pipi sur le gazon pour arroser les coccinelles".

En revanche, évitez de proposer à votre enfant de baisser sa culotte lors d'une promenade en forêt ou dans une zone où les herbes sont hautes, au risque qu'une tique ne s'agrippe à lui.

Si vous repérez un jour ce type d'acarien sur la peau de votre petit (souvent le cuire chevelu), enlevez-le le plus tôt possible, soit 24 heures maximum après la morsure, très doucement, avec un crochet à tiques ou à la main.

http://pharma.rocheville.pagesperso-orange.fr/Images/tique.GIF

Jamais d'éther : en provoquant des vomissements chez la tique, il aggraverait l'infestation.

Consultez ensuite, si possible, un médecin pour vérifier que vous avez retiré la totalité des pièces buccales qui s'ancrent dans la peau pour se nourrir de sang.

En fonction des régions géographiques, les tiques peuvent transmettre de graves maladies, dont le diagnostic est difficile à poser.

Une surveillance de la peau de l'enfant et un traitement médicamenteux s'imposent parfois.

* Un voile sur la nacelle ou le berceau, type moustiquaire de ciel de lit ou bien une moustiquaire classique, cela permet de limiter les petites et grosses papules provoquées notamment par les moustiques et moucherons.

* Pantalon pour les promenades à travers champs.

Exit short, bermuda et legging court pour traverser broussailles et zones graminées : préférez un pantalon léger pour vos enfants !

Vous leur éviterez les désagrements causés par certains végétaux, ainsi que nombre de piqûres de "bestioles" dont l'aoûtat.

http://pharma.rocheville.pagesperso-orange.fr/Images/aoutat.GIF

Comme la tique, cet accarien affectionne genoux, aisselles et autres zones de pliures de notre corps où la peau est fine, humide et chaude.

Les démangeaisons provoquées par ses attaques sont féroces... ce serait bête de passer le reste de l'été à se gratter !

* Pas de canettes ni de petites bouteilles opaques sur la nappe de pique-nique, et des verres sous très haute surveillance pour que les enfants n'avalent pas guêpes, abeilles et frelons avec leur gorgée de boisson.

http://www.cartoons-cadeaux.com/datas/galerie/lunettes%20paille.gif

En effet, les piqûres de la gorge sont particulièrement graves !

Si elles n'entraînenent pas forcément de choc allergique, elles occasionnent inflammation et gonflement puis asphyxie.

La solution selon l'âge de vos petits loups : biberons, tasses à bec ou pailles dont le diamètre serait trop fin pour laisser passer ces insectes piqueurs !


Sources : Infobébés n°92 de juillet 2010

 

**** Article programmé ****

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24 décembre 2010 5 24 /12 /décembre /2010 15:13

 

Alerte à la listeria dans le foie gras. Carrefour a rappelé jeudi 700 mini-terrines de foie gras de canard frais entier vendues sous la marque Carrefour Sélection, indique ce vendredi Le Parisien. La bactérie a en effet été détectée «lors de mesures d'autocontrôle».

Vingt-six Carrefour et Carrefour Market sont concernés par la vente de ces lots dont les références sont: T18327O, T18327R et T18327C dont la date limite de consommation est comprise entre le 20 au 28/08/2011.

En cas de fièvre, «isolée ou accompagnée de maux de tête», les personnes ayant consommé ce produit sont priées de consulter immédiatement leur médecin. Un numéro vert, mis en place par Carrefour, est également disponible: 0 805 900 021.


Sources : 20minutes.fr

 

La listéria peut causer des maux plus ou moins graves, mais peut être fatale pour un foetus.

Les contaminations à la listéria sont rares de nos jours, mais cet exemple nous prouve que les précautions ne sont jamais superflues, contrairement à ce que pense certains, car on ne sait jamais sur ce que l'on peut tomber et une seule fois suffit pour qu'une grossesse tourne au tragique...

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30 novembre 2010 2 30 /11 /novembre /2010 13:00

Les jeunes enfants éprouvent un besoin naturel de téter. Qu'il s'agisse d'une tétine ou de leur pouce, ce geste les rassure et « participe à leur développement psychologique », estime le Dr Christophe Lequart, chirurgien-dentiste et porte-parole de l'Union française de la Santé bucco-dentaire (UFSBD). Mais sucer son pouce ou une tétine n'est pas dénué de risques, notamment de déplacements dentaires et osseux. 


Sucer son pouce... « La traction exercée par le pouce sur les incisives supérieures entraîne leur déplacement vers l'avant », indique Christophe Lequart. Sans compter qu'une déformation osseuse peut également apparaître au niveau de la mâchoire. « Nous constatons souvent la marque du pouce sur le palais », précise notre dentiste.

... ou une tétine ? Si vous avez fait le choix de donner une tétine à votre petit, il est possible qu'une béance se développe entre les dents du haut et celles du bas. S'il abandonne la tétine assez tôt, ce n'est pas dramatique. Mais n'oubliez qu'il existe aujourd'hui des tétines physiologiques, dont la forme approche celle du mamelon maternel. Elles réduisent les risques de déformation. Mais surtout, ne trempez jamais la tétine dans du miel ou du sirop ! Vous favoriseriez l'apparition de caries... même si Bébé n'a pas encore de dents.

Dans tous les cas, un arrêt progressif dès l'âge de 4 ou 5 ans est recommandé par les spécialistes. « Je passe souvent des contrats avec mes petits patients. Je leur explique qu'ils sont grands et peuvent donc arrêter la tétine ou le pouce pendant la journée. Puis progressivement, je leur donne des échéances avec, par exemple, un arrêt définitif aux prochaines vacances », conclut le Dr Lequart.

Sources : Destination Santé

 

Conclusion mon petit Alexandre n'a même pas encore 3 ans, qu'on le laisse tranquille lorsqu'il a besoin de sa sucette ou de son doudou !

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10 novembre 2010 3 10 /11 /novembre /2010 11:05

Peu de médicaments sont autorisés pendant la grossesse. Les futures mamans doivent donc apprendre à se protéger des maladies de l’hiver pour éviter de tomber malade... ou au moins se soigner sans risque.

1. Habillez-vous chaudement

La petite voix de votre propre mère ne cesse sûrement de le répéter : couvrez-vous ! En effet, quand votre organisme se mobilise pour affronter le froid (même un simple courant d’air), vos défenses immunitaires baissent et vous devenez la proie facile des virus ! Sortez donc la panoplie de l’hiver : tee-shirt à manches longues, pull, manteau, écharpe, bonnet, gants, chaussettes hautes et chaussures bien hermétiques.

Et à l'intérieur...

Il ne s’agit pas de surchauffer votre logement au point de vivre bras nus tout l’hiver ! La température idéale se situe entre 19 et 21°C. En effet, au delà la chaleur favorise la prolifération bactérienne. Si vous êtes frileuse (ça se comprend quand on bouge de moins en moins), ajoutez un grand gilet en laine à votre tenue.

2. Aérez votre intérieur

Même si la température devient négative, qu’il pleuve ou qu’il vente : aérez votre logement quelques minutes chaque jour ! Cela permet de renouveler l’air et donc de minimiser les risques de propagation des virus.

Attention à l'hygiène

Le lavage des mains (avec du savon et de l’eau tiède ou une solution antibactérienne) avant chaque repas et après chaque sortie ou rencontre permet d’éviter bien des maux !

3. Surveillez votre aimentation

L’idée étant d’éviter les coups de pompe et les carences en vitamines qui fragilisent et donc augmentent le risque de tomber malade. Pour cela, 5 fruits et légumes par jour, 1,5 litre d’eau minérale, des protéines deux fois par jour (si possible du poisson), des féculents à chaque repas, une alimentation variée (notamment au niveau des sources de lipides).
 Et veillez à votre sommeil.
Dormir environ 8 heures par nuit dans un environnement sain et à horaires fixes permet de se ressourcer efficacement. Si besoin, complétez avec une sieste l’après-midi.

4. Les remèdes pour vous soigner

Si vos symptômes restent supportables et que vous n’avez pas de fièvre, commencez par vous soigner avec des remèdes de grand-mère. Si vous ne remarquez aucune amélioration au bout de quelques jours ou que la situation se dégrade, consultez votre médecin.
- La panoplie anti-mal de gorge : protéger sa gorge avec une écharpe ou un foulard pour dormir, boire une tisane ou un lait sucrés au miel qui calment les irritations, sucer des pastilles à base de plantes ou utiliser des bains de bouches pour désinfecter la gorge.
- Les réflexes en cas de rhume : nettoyer son nez avec une solution adéquate (sérum physiologique ou eau de mer) et boire beaucoup d’eau.
- Des plantes pour se soigner : la phytothérapie peut vous aider pendant votre grossesse mais attention, demandez conseil à un pharmacien spécialisé dans le domaine car certaines plantes pourraient être néfastes. Gare aussi aux huiles essentielles contre-indiquées aux femmes enceintes.

5. Si vous avez mal au ventre

Fractionnez les repas et buvez du jus de citron contre les nausées, évitez les aliments qui font gonfler (crudités et fruits en grande quantité, boissons gazeuses, aliments gras, choux, pois…) contre les ballonnements, privilégiez les fibres (dans les fruits et les légumes mais aussi les céréales complètes) et buvez beaucoup d’eau contre la constipation.

Adaptez vos menus en en cas de diarrhée (évitez le cru et le lourd à digérer et privilégiez les viandes grillées, les bananes, les carottes et le riz). En cas de crampes intestinales, misez tout sur la relaxation. Allongez-vous sur le dos et détachez vos vêtements, respirez calmement et massez votre ventre. Si vous craignez de confondre avec des contractions, consultez votre gynécologue sans plus attendre.

6. Les médicaments autorisés

Certains médicaments ont fait l’objet d’études et ne présentent pas de danger pour votre bébé. Vous pourrez donc les utiliser en cas de besoin. Un conseil : consultez votre médecin pour obtenir une prescription adaptée. Et lisez bien la posologie afin d’éviter le surdosage.

Pour les maux de ventre, vous aurez droit au Spasfon ® pour les crampes, à des pansements gastriques type Gaviscon ® en cas d‘aigreurs et certains laxatifs en cas de constipation.

Pour les maux de tête, les courbatures, la fièvre, votre meilleur ami s’appelle paracétamol. Si votre état le nécessite, votre toubib pourra vous prescrire des antibiotiques adaptés (de nombreuses classes sont contre-indiquées aux femmes enceintes).

L’homéopathie peut aussi constituer un recours intéressant pendant la grossesse. Parlez-en à votre médecin. Dans tous les cas, ne pratiquez pas l’automédication car cela pourrait avoir des conséquences graves sur la santé de votre bébé.

7. Les médicaments contre-indiqués

- De nombreux antibiotiques.
- Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) à partir du début du 6ème mois de la grossesse. En effet, ils sont responsables d’une toxicité foetale et néonatale grave, voire fatale.
- Les antalgiques types aspirine ou ibuprofène.
- Les antihistaminiques et les décongestionnants souvent utilisés pour des rhumes.

Sources : TopSante.com

 

La grossesse, ce n'est pas une maladie, mais c'est sacrément galère pour se soigner correctement et rapidement en cas de maladie !

 

Edit du 10 novembre 2010 : 

L'hiver est plus propice à la prise de traitements médicaux. Mais la contre-indication des antihistaminiques est problématique pour les personnes ayant des problèmes allergiques à tout moment de l'année (particulièrement à la période de la polénisation)...

Une grossesse, c'est beaucoup de bonheur, mais cela peut également être source de beaucoup de soucis et autres tracas...

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31 octobre 2010 7 31 /10 /octobre /2010 10:44

Respiration : tout en douceur

 

"Inspirez, bloquez, poussez" : ce précepte est désormais cantonné au début de la phase d'expulsion, pour aider le bébé à descendre.

Ensuite, pour éviter trop de pression sur le périnée et un risque de déchirure, on vous dira plutôt : "Poussez en expirant".

En pratique, il s'agit de prendre une grande inspiration et de pousser en soufflant tout doucement, comme pour souffer sur une bougie, mais sans l'éteindre.

Expression abdominale : c'est terminé

Il arrivait parfois qu'en fin d'accouchement, la sage-femme appuie assez fermement sur le ventre pour renforcer l'effet de la poussée et aider le bébé à sortir.

Il faut savoir que cette pratique est aujourd'hui formellement déconseillée à cause de son inefficacité et, plus grave, d'un risque de rupture utérine ou de lésions du périnée.

Episiotomie : ce n'est plus automatique

Le Collège national des gynécologues et obstétriciens français (CNGOF) recommande d'éviter autant que possible cette incision chirurgicale du périnée, censée faciliter la sortie du bébé et prévenir l'incontinence urinaire.

De nombreuses études ont en effet remis en cause son rôle préventif et montré qu'il valait mieux une petite déchirure qui cicatrise rapidement qu'une épisiotomie dont les suites sont parfois douloureuses.

Ce n'est donc plus un geste systématique même si dans certains cas on peut être obligé d'y recourir.

Un périnée courts, c'est à dire une faible distance entre l'anus et la vulve peut être une indication, tout comme un périnée fragilisé par une précédente déchirure ou des difficultés à l'expulsion du bébé.

Mais dans les faits, tout dépend de l'expérience et de la volonté du praticien et de son équipe.

Si vous voulez mettre toutes les chances de votre côté, vous pouvez masser votre périnée avec de l'huile d'amande douce en fin de grossesse.

Cela aiderait les tissus à se détendre plus facilement.

Délivrance : on peut l'accélérer

Par mesure de précaution, il est recommandé aujourd'hui d'injecter dans la perfusion une dose d'ocyotocine dès que les épaules sont dégagées.

Cette hormone favorise les contractions de l'éutérus, accélère l'expulsion du placenta, puis la rétractation de l'utérus et prévient ainsi le risque d'hémmoragie de la délivrance.

Une recommandation encore plus valable pour les mères de famille nombreuse ou celles qui ont eu l'utérus très distendu au cours de la grossesse (gros bébé, excès de liquide amniotique...) et bien sûr pour celles qui ont déjà des antécédents d'hémorragie de la délivrance.

 

Sources : magazine Parents n°500 d'octobre 2010

 

**** Article programmé ****

 

Pour la naissance d'Alexandre, j'ai perdu les eaux le dimanche matin à 10h00. Mon petit doigt me disait qu'il n'y avait pas urgence. J'ai pris une petite douche et direction la maternité. J'ai eu des contractions toute la journée, mais pas de début de travail. Pourtant, j'y ai mis de la bonne volonté et ait visité l'hôpital en long, en large, de haut en bas (par les escaliers, of course...). Le soir, une petite piqûre pour stopper les contractions, histoire que je dorme un peu.

Le lundi matin, 7h30, direction la salle de travail. Petite piqûre pour déclencher l'accouchement.

Et ... 12 heures plus tard, l'obstétricienne se décide à sortir les forceps pour décoincer la situation, et surtout la tête de mon fiston et.... ça y'est, un petit Alexandre qui pointe le bout de son nez ....

Forcément, il était le plus joli des bébés, malgré un gros bleu sur la joue à cause de l'utilisation des forceps...

Pour "Junior" (nous n'avons pas encore choisi son nom...), je vous raconterai cela dans plusieurs mois.

 

Et pour vous, ça s'est passé comment ???

 

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31 octobre 2010 7 31 /10 /octobre /2010 09:50

Un quart seulement des futures mamans participent au cours de préparation à la naissance.

Alors forcément, à l'approche du jour J, beaucoup de questions restent en suspens.

Avancées médicales, accouchement personnalisté, nouveaux droits...

On  vous explique tout ce que vous avez toujours voulus savoir sur l'accouchement, sans jamais avoir osé le demander.

Entre un premier bébé et les suivants : c'est différent

Des premières contractions à la naissance, l'accouchement pour un premier enfant est habituellement plus long. Il dure en moyenne de 8 à 12 heures

L'effacement du col se fait généralement au cours du prétravail, puis dans un deuxième temps se produit la dilatation, la phase la plus longue, et enfin c'est l'expulsion.

Pour les grossesses suivantes, votre corps est déjà entraîné, le col est devenu plus mou, plus souple. Résultat : l'éffacement du col et la dilatation peuvent souvent se faire quasi simultanément, d'où des naissances beaucoup plus rapides. Parfois, à peine deux heures.

Accouchement programmé : dans certains cas seulement.

Chez une maman sur cinq,le travail est déclenché artificiellement. L'équipe de la maternité peut décider de devancer le timing de la nature, si vous souffrez d'une pathologie (hypertension, diabète sévère...) ou si l'état de santé du bébé le réclame.

Dans d'autres cas, vous êtes arrivée à terme et pas le moindre signe annonciateur... Le placenta "vieillissant" risque alors de moins bien oxygéner votre bébé. Une surveillance régulière est mise en place, mais si rien ne se passe, les médecins proposent en général un déclanchement quelques jours après le terme.

Sous certaines conditions, vous pouvez aussi demander un déclenchement de convenance. Vous habitez loin de la maternité et craignez de ne pas arriver à temps, vous voulez être sûre de la disponibilité du papa le jour J...

C'est envisageable, mais pas envant la 39ème semaine de grossesse.

L'obstétricien regardera aussi si votre col est prêt, c'est à dire déjà un peu ouvert et mou. Il arrive également, pour des questions d'organisation, que ce soit l'équipe médicale qui propose un accouchement programmé.

Surtout à la veille des week-ends ou des jours fériés, quand il s'agit de jongler avec les plannings du personnel.

Perte du bouchon muqueux : pas forcément le signal du départ

D'abord, toutes les femmes n'en ont pas.

Et puis, l'expulsion de cette glaire épaisse qui obstrue le col de l'utérus peut se produire quelques jours avant la naissance, avant même la perception des contractions.

Alors on ne s'affole pas.

A la maternité, en taxi : c'est remboursé

Cette fois, il est temps de partir.

Si votre conjoint ou la voisine ne sont pas disponibles, pas question de prendre le volant. Mieux vaut appeler un taxi.

Sachez qu'un refus de prise en charge peut-être poursuivi pour non-assistance à personne en danger. Pour être sûre que le chauffeur ne refuse pas la course, inutile de claironner que l'on est sur le point d'accoucher. Et contentez-vous de donner l'adresse de la destination, sans préciser que c'est une maternité.

Une fois arrivée, demandez un reçu. Vous serez remboursée du trajet par la Sécurité sociale. Même chose si vous appelez une ambulance, vous serez  également remboursée à 100%.

Enfin, si vous avez vraiment l'impression que vous allez accoucher dans les minutes qui viennent, faites le 15 pour appeler le Samu. Si vous le pouvez, évitez les pompiers qui sont parfois moins bien formés.

Rester à jeun pendant le travail : c'est dépassé

En cas d'anesthésie général prévue à l'avance, le jeûne est obligatoire pour éviter un retour du contenu de l'estomac dans les poumons.

Mais avec la péridurale, cette pratique est devenue quasiment obsolète. Alors rien ne vous interdit de faire un repas léger en début de travail, avant de partir à la maternité. C'est même préférable pour affronter ce marathon!

De même, en salle de naissance, lorsque la péridurale est en place, vous pouvez tout à fait boire de l'eau ou une tisane sucrée avec un peu de miel.

Manger davantage passerait mal, car pendant le travail beaucoup de mamans sont sujettes aux vomissements.

Se raser le pubis : ce n'est plus nécessaire

Des études ont montré que des microcoupures pendant le rasage pouvaient entraîner un risque infectieux.

Il n'est donc plus recommandé de le faire.

Juste avant l'expulsion, il est possible toutefois "d'éclaircir" un peu la zone du périnée pour mieux le surveiller pendant la naissance.

Positions pour accoucher : un large éventail

En l'absence de contre-indication vous serlez le plus souvent encouragée à marcher à et bouger durant le prétravail.
Il semble en effet, que la position verticale favorise l'engagement du bébé dans le bassin. Tout comme l'utilisation des ballons, qui permet grâce à des mouvements de balancier de favoriser l'ouverture du col.

En salle de naissance, de plus en plus de maternités vous permettent également d'adopter différentes positions : allongée sur le côté, assise, accroupie à quatre pattes...

Certaines études semblent en effet montrer un bénéfice sur la dynamique du travail et le descente du bébé, avec un petit avantage, semble-t-il pour la position allongée, sur le côté, qui protège un peu mieux le périnée durant l'expulsion.
Mais les experts ne sont pas tous d'accord. Sauf pour dire que la meilleure des positions, c'est d'abord celle qui vous convient le mieux.

 

Sources : magazine Parents n°500 d'octobre 2010

 

**** Article programmé **** 

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30 octobre 2010 6 30 /10 /octobre /2010 08:52

Le nom peut sembler barbare et je peux vous confirmer qu'il n'y a pas que le nom !

Lundi matin, j'ai fait le test O'Sullivan. Boire 250 ml d'une boisson sirupeuse à souhait (car contenant 50 g de glucose) aromatisée à l'orange (chimique et non pas d'Espagne...)... c'est déjà pas terrible.

Mais lorsque le résultat n'est pas top... (j'avais une glycémie de 1,57 g/l)... on doit prolonger les festivités avec le test d'hyperglycémie provoquée par voie orale.

Ce test, dont le nom semble barbare, consiste en :

* une prise de sang (avec un cathéter posé plus ou moins aisément) et un petit pipi.

* boire 250 ml d'une boisson doublement plus sirupeuse à souhait que pour le test O'Sullivan (car contenant 100 g de glucose), mais cette fois-ci aromatisée au citron (toujours bien chimique)... c'est vraiment très écoeurant. J'ai réussi à ne pas faire comme la brave dame qui m'a précédée, c'est à dire ... à ne pas tout revomir au bout de  5 minutes !

* au bout d'une heure, un peu de sang et un peu de pipi.

* au bout de deux heures, un peu de sang et un peu de pipi.

* au bout de trois heures, un peu de sang et un peu de pipi.

* .... on peut enfin rentrer chez soi !

Résultat des courses.... hyperglycémie normale !

Plus de peur que de mal, mais cela remet les pieds sur terre et rappelle que soucis et problèmes ne sont pas une raison suffisante pour ne pas avoir une alimentation équilibrée et raisonnable...

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26 octobre 2010 2 26 /10 /octobre /2010 08:50

Le test de O'Sullivan est un test de tolérance glucidique .

Il est destiné à mettre à l'épreuve les mécanismes de régulation du glucose sanguin maternel. Le test s'effectue, en cours de grossesse, entre 24 et 28 semaines d'aménorrhée (soit 22 et 26 semaines de grossesse).

Le praticien fait ingérer 50 grammes de glucose et dose la glycémie une heure après.

Il est souhaitable que la patiente observe le repos lors de ce délai. Il n'est pas nécessaire d'être à jeun avant l'ingestion du sucre. La glycémie, après charge, ne doit pas excéder 1,40 g/l ou 1,30 g/l (selon la sensibilité désiré), selon le Collège des Gynécologues Obstétriciens.

Près de 5% des femmes enceintes sont hors des limites retenues.

Si le test est positif, il faut réaliser une hyperglycémie provoquée per os avec 100 grammes de glucose.

80 % des femmes avec test positif auront une hyperglycémie provoquée per os normale.

20 % des femmes auront soit un diabète gestationnel soit une intolérance au glucose.

Enfin si la glycémie est supérieure à 2 grammes par litre, il est inutile de faire une hyperglycémie provoquée per os, on peut parler directement de diabète gestationnel.

Principe du test

La maman partage son glucose avec Bébé.

Quand elle en a trop, elle lui en donne trop. Lui, Bébé, il n’est pas diabétique, alors il stocke, il fait des graisses. Ces graisses vont s’accumuler principalement sous la peau, mais pas seulement. Elle peuvent se retrouver dans des endroits où c’est beaucoup plus embêtant, comme les cloisons du coeur. Cet organe, il bat en permanence. Vous croyez que ça l’arrange d’avoir des parois alourdies par les graisses ?

Quand elle n’en a pas assez, du glucose, elle partage pareillement et elle lui en donne peu. Or, le cerveau adulte, et a fortiori celui de Bébé, a besoin en permanence de glucose. Quand il n’en a pas, il ne sait pas utiliser l’oxygène et les cellules cérébrales souffrent.

Sources : http://wikipedia.org et http://www.femiweb.com

 

J'ai fait le test hier.

Autant j'aime bien chocolats, bonbons et autres sucreries autant les 50 grammes de glucose à ingérer pour cet examen sont écoeurants à souhait !

Résultat des courses ... 1,57 g/l. Décidément, rien ne m'aura été épargné durant cette grossesse...

Donc au programme, demain, retour au laboratoire d'analyse pour "déguster" 100 g de glucose et passer la matinée à patienter et à faire des prises de sang (1 en arrivant, puis 3 autres, à raison de 1 toutes les heures...)

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25 octobre 2010 1 25 /10 /octobre /2010 08:34

Une étude menée par des chercheurs américains a mis en évidence que les enfants les plus dorlogtés devenaient des adultes moins stressés.

Lorsque les enfants "cobayes" étaient âgés de 8 mois, un psychologue a évalué les réactions d'affection et d'attention de leurs mères au moment où ils étaient soumis à des tests.

Devenus adultes, ils ont été interrogés sur leur gestion du stress.

Le résultat confirme ce que bon nombre de spécialistes de l'enfance disent depuis longtemps : l'affection prodiquée à un enfant n'en fait pas une future "mauviette", mais au contrair eun adulte équilibré et autonome.


Sources : Journal d'épidémiologie et de santé communautaire, juillet 2010 et magazine Parents n°500 d'octobre 2010

 

**** Article programmé ****

 

N'hésitez pas à cajoler, caliner et rassurer votre enfant, n'en déplaise à certains !

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