Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Home Sweet Home

  • : Housewife... but not desperate !
  • : Petites croix, cuisine, voyages, photographie, mon parcours pour devenir assistante maternelle, mon installation dans l'estuaire de la Gironde, mes premiers pas au crochet ... Vous trouverez tout cela, et bien plus encore, sur mon blog ! Bref, venez vite, il y a plein de choses à découvrir et pour tous les goûts !
  • Contact

Recherche

Archives

Related Posts with Thumbnails
31 mai 2010 1 31 /05 /mai /2010 16:40

En ce dernier jour du mois de mai, j'avais quelques jours de retard... ayant toujours eu des cycles irrégulier je ne me serai jamais précipité sur un test de grossesse si je n'avais pas eu à prendre RDV chez le médecin pour venir à bout d'une bronchite !

 

Un petit test "pipi" pour commencer la journée.

Comme le résultat n'était pas flagrant ...

P1000842

... et que je voulais être sûr direction le laboratoire pour une prise de sang suivie de quelques heures d'attente.

 

A 15h00, je décroche mon téléphone, je les appelle et le résultat tombe ! Taux de beta HCG.... 111 donc .... enceinte !

 

Direction la maternité pour prendre mon 1er RDV de suivi de grossesse qui aura lieu le 1er juillet à midi...

 

A 18h30, direction le médecin pour soigner cette fichue bronchite avec le peu de médicaments autorisés pendant la grossesse...

 

To be continued...

Partager cet article
Repost0
28 janvier 2010 4 28 /01 /janvier /2010 10:20
Des chercheurs de l'Université d'Edinbourg ont étudié les "réserves ovariennes" (le nombre potentiel d'ovules que chaque bébé fille a à la naissance) dont chaque femme dispose de la naissance à la ménopause. 


Leur étude montre que ces réserves diminuent à un rythme bien plus rapide que l'on ne croyait jusqu'alors. Ainsi, à l'âge de 30 ans, une femme ne disposerait plus que de 12% de ses ovules et n'en aurait plus que 3% à l'âge de 40 ans.


Les chercheurs insistent sur le fait que beaucoup de femmes pensent être fertiles, dès lors quelles ont un cycle régulier chaque mois. Or, leur taux de fertilité diminue très rapidement dès l'âge de 30 ans. En outre, toutes les femmes ne partent pas avec la même égalité des chances, car dès leur naissance, certaines ont une "réserve" de plus de 2 millions d'ovules alors que d'autres n'en ont que 35 000.

Sources : TopSanté

Partager cet article
Repost0
14 octobre 2009 3 14 /10 /octobre /2009 12:31
Un bébé n'a pas le même point de vue qu'un adulte sur tout ce qui l'entoure.

Voilà une petite vidéo qui vous permettra de vous faire une petite idée.... (d'autres suivront...)

Partager cet article
Repost0
6 août 2009 4 06 /08 /août /2009 13:31

Baby blues: comment devenir une maman heureuse?

 

Selon le pédiatre et psychanalyste Winnicott « Une femme enceinte est normalement folle ».

Ce qui signifie que l'état de grossesse bouleverse tant les femmes qu'elles en perdent leur équilibre.

On a d'ailleurs l'habitude de le comparer à l'adolescence.

Sauts d'humeur, envies, troubles de l'appétit et du sommeil, rêves farfelus et cauchemars terribles, anxiété, euphorie, hypersensibilité : les symptômes ne manquent pas.

Aussi, la majorité des jeunes mamans traversent une période de baby-blues caractérisée par une labilité émotionnelle forte.


Les raisons : les changements hormonaux mais aussi la situation.

 

Devenir maman c'est dabord un événement magique au sens « extraordinaire » du terme, perdre une partie de soi pour en construire une autre (renoncement et enrichissement), explorer une nouvelle forme de féminité, changer de place dans la famille mais aussi réorganiser sa vie de couple, professionnelle et quotidienne.


Baby blues : parfois ça dérape

 

On parle de dépression du post-partum lorsque cet état de baby-blues dure au-delà de quelques jours et que les manifestations prennent de l'ampleur : insomnie ou hypersomnie, perte d'appétit ou boulimie, crises de larmes répétées, impression de ne pas être à la hauteur, difficultés à soccuper du bébé, manque d'élan et d'enthousiasme, gestes mécaniques, sourire figé, symptômes chez le bébé.


Les causes


Elles sont nombreuses et différentes pour chaque femme. Parmi elles, on peut citer : l'isolement psycho-affectif (mère célibataire ou papa très peu présent mais aussi famille éloignée, suivi médical trop espacé), des difficultés dans le couple, un déménagement mal vécu, une naissance difficile avec un sentiment d'échec et d'incompétence très fort (accouchement prématuré, césarienne, maladie grave du nouveau-né), un déni de grossesse ou encore des traumatismes de l’enfance qui remontent à la surface à ce moment clé de la vie. La dépression du post-partum est plus fréquente après le premier enfant même si des rechutes sont possibles après les naissances suivantes.

Des signes avant la naissance ?


Toute la difficulté de la prise en charge de la dépression du post-partum réside dans son diagnostic. Mais sachez qu'une femme enceinte qui est déprimée par son état (nausées, vomissements incoercibles, angoisse du lendemain, peur de l’accouchement, menace d’accouchement prématuré…) n’a pas plus de risque de développer une dépression du post-partum.

La naissance peut très bien suffire à rétablir son équilibre : le bébé est là, bien vivant, bien portant, la mère a réussi à lui donner vie. Les femmes concernées ne s’avèrent donc pas forcément celles que l’on imagine avant la naissance de bébé !

 

Des signes après la naissance


Après la naissance, le personnel médical et l’entourage ont tendance à confondre la dépression post-partum avec le baby-blues. Les remarques ne font alors qu’enfoncer les jeunes mamans dans leur dépression : « Secoue toi », « Ne pleure pas, le bébé va le ressentir».

Sans compter que le séjour en maternité (entre deux et trois jours en moyenne) s’avère bien insuffisant pour déceler une dépression chez la mère. En effet, le retour à la maison occasionne une perte de repères importante et c’est à partir de ce moment-là que les mamans dépriment vraiment.

 

Si vous sentez poindre la dépression...

 

N'hésitez-pas à demander de l'aide. Tournez-vous vers le médecin ou la sage-femme qui vous a suivi pour vos rendez-vous médicaux ou lors des séances de préparation à l’accouchement. L’entretien du 4ème mois peut aussi vous permettre d’exprimer leurs angoisses. Certaines activités peuvent vous aider à anticiper plus sereinement la venue du bébé (sophrologie) et à créer un lien précoce avec lui (haptonomie).

Dans certains cas, il ne faut pas hésiter à entamer un suivi psychiatrique avant la naissance. Un seul rendez-vous avec un professionnel lui donnera la possibilité de vous dire s’il décèle des signes de dépression chez vous. Si la réponse est non mais que votre état se dégrade après la naissance, le contact sera au moins établi.

 

Baby-blues : surtout déculpabilisez !


Faites appel à la famille, aux amies : l’essentiel est d’abord de pouvoir vous reposer, quand une autre personne s’occupe du bébé. Dans un second temps, tournez vous vers l’équipe médicale de la maternité, une sage-femme libérale, la PMI ou encore le numéro d’aide Allo Parents Bébé pour parler de votre ressenti et déculpabiliser sur la situation.

Si vos interlocuteurs vous orientent vers un médecin psychiatre, tentez l’expérience. Il arrive que le médecin vous prescrive, en plus des séances, un traitement médicamenteux à prendre sur une période courte, ce qui vous sera d’un grand soutien.

 

Et mon bébé ?

 

Si vous craignez que votre bébé ne pâtisse de votre état ou que vous observez chez lui des symptômes tels que perte d’appétit, troubles du sommeil, absence de pleurs, adressez-vous à un pédopsychiatre. A noter : certaines unités hospitalières prennent en charge la mère avec son bébé.
Dans tous les cas, rassurez-vous : ces troubles s’ils sont soignés par des spécialistes, finissent toujours par disparaître. La dépression indique le point de départ du processus de guérison.


Sources : TopSante.com  avec la collaboration de Linda Morisseau (pédopsychiatre et psychanalyste, chef de service du Centre de guidance de l’Institut de puériculture et de périnatalité de Paris) et Micheline Blazy (gynécologue obstétricienne et chef du service de soins en périnatalité de l’hôpital du Vésinet (Yvelines).

Partager cet article
Repost0
31 juillet 2009 5 31 /07 /juillet /2009 10:00
Royaume-Uni - Une équipe de chercheurs du King's College et de l'University College de Londres ont découvert que le taux de progestérone présent dans la salive permet de déterminer le risque d'accouchement prématuré.


Les femmes qui accouchent prématurément, soit avant 34 semaines de grossesse, ont un taux de progestérone plus faible dans leur salive.
Les scientifiques ont analysé les échantillons de salive de quatre-vingt-douze femmes enceintes ayant un risque d'accouchement prématuré.
Ces échantillons ont été collectés chaque semaine dès 24 semaines de grossesse et jusqu'à 34 semaines, voire jusqu'à l'accouchement.
En fonction de la date de leur accouchement (avant 34 semaines, entre 34 et 37 semaines, et après 37 semaines, soit à terme), les chercheurs ont découvert que ces femmes présentaient des taux de progestérone dans la salive assez différents.
Plus l'accouchement approche du terme et plus le taux est élevé.La progestérone est connue pour ses capacités anti-inflammatoires et un faible taux de cette hormone pourrait rendre le corps vulnérable à une bactérie, cause connue d'accouchement prématuré.
Comme ce faible taux peut se détecter à partir du sixième mois de grossesse, un test simple et non-invasif pour le foetus pourrait être mis au point et ainsi identifier les accouchements prématurés

Sources : MaxiSciences
Partager cet article
Repost0
23 juillet 2009 4 23 /07 /juillet /2009 08:00
Qui ne compte pas sur l’été pour rebooster sa vie sexuelle ? Et à raison ! En effet, c’est la saison la plus propice aux plaisirs du corps. La preuve ci-dessous, au cas où vous hésiteriez encore...
Profitez de l'été pour vous rapprocher
Jusque dans les années 90, le pic des naissances avait lieu au printemps et c’était assez logique. Les couples profitaient de l’été pour faire l’amour… Depuis une vingtaine d’année, c’est le mois de juillet qui enregistre le plus de nouveaux bébés. Pourtant, le mois de novembre ne constitue pas la période la plus glamour du calendrier… Les analystes évoquent une cause à ce « décalage des câlins » : la volonté (nécessité ?) des mamans de coller les grandes vacances à leur congé maternité…

Mais qu’on ne s’y trompe pas, avec l’usage généralisé de la contraception, les hommes et les femmes profitent quand même de la belle saison pour se rapprocher ! La preuve : près de la moitié des femmes (47 %) affirment être sexuellement plus actives en vacances. Compréhensible, puisque la même étude nous apprend que pour 37 % de femmes, les relations sexuelles sont plus satisfaisantes l’été que le reste de l’année...

Et du côté des célibataires ?

Les enquêtes révèlent sans surprise un même désir accru pendant l’été : ils avouent à 76% se laisser tenter par de nouvelles expériences en vacances, et même à 5% se lancer dans un concours de rapports sexuels.

Du temps et de la disponibilité
En effet, la grisaille, le travail et la routine du quotidien motivent rarement les couples à s’adonner souvent et avec frénésie aux plaisirs de la chair… Le motif principal invoqué pour ne pas avoir de rapport sexuel s’avère d’ailleurs le manque de temps (22 %) pour l’homme et la fatigue (48 %) pour la femme.

Vive l'effet grasse matinée !
Les vacances d’été avec ses grasses matinées, ses après-midi de farniente et ses siestes à l’ombre se chargent donc d’anéantir ces deux obstacles au rapprochement des corps ! A la condition que l’on s’accorde de vrais congés !

Petits rappels : on éteint tous les appareils qui nous relient au monde d’avant le sable (téléphone, palm, ordinateur), on ne prévoit rien (les plannings de visites culturelles et d’activités sportives ne feraient que remplacer les réunions et les rendez-vous !), on se ménage des moments sans les enfants, les amis et les voisins, bref de véritables tête-à-tête !

Reste à surmonter le stress qui peut vous suivre les premiers jours. Changez de sac, de tenue, de coiffure et débarrassez-vous des objets qui vous suivent habituellement partout) et à trouver des solutions pour éviter le maximum de corvées : femme de ménage le dernier jour de la location, livraison des courses à domicile, séjour en hôtel pension complète par exemple.

Normalement, si vous suivez ces conseils, la libido regonfle rapidement…

Expérimentez de nouveaux lieux
Une météo au beau fixe, d’autres lieux (la plupart du temps charmants voire paradisiaques), des parfums envoûtants, des saveurs étonnantes, des rencontres, des sorties, la découverte de nouveaux sports ou de curiosités culturelles : votre corps et votre esprit sont en éveil !

Et c’est le meilleur moyen de s’ouvrir à l’autre, de « lâcher prise » et de s’évader avec lui pour des câlins caliente.

Cela se traduit par l’expérimentation de lieux insolites : plage, avion, piscine… En tout cas, malgré les inconvénients qu’il comporte, le sable a la côte. En vacances, les lieux les plus « torrides », selon les femmes, pour avoir des relations sexuelles seraient « la plage, une dune ou une crique ». Reste aussi le simple mais bucolique champ de blé. En effet, faire l’amour en pleine nature reste le fantasme préféré de 49 % des Français.
Les couples en profitent aussi pour se lâcher… 22 % des femmes déclarent même faire l’amour « plus sauvagement » durant les vacances. Nouvelles pratiques, fantasmes assumés et parfois réalisés : la température monte d’un cran !

Devenez une prédatrice
Inutile de lire les sondages pour s’en rendre compte. Il suffit de regarder autour de soi : les femmes et les hommes deviennent de véritables prédateurs après le 21 juin. La chaleur aidant, ils dévoilent leurs bras et leurs jambes même au bureau. Arrivés en bord de mer, les épaules, le décolleté et le ventre prennent l’air à leur tour.

Mini-rikiki le maillot

Sur la plage, les maillots de bain rétrécissent (58 % de bikinis ultra-sexy contre 22 % de maillots une pièce) et sautent même parfois pour laisser la nudité exposée au regard de tous ! Sans compter, les effets du bronzage sur nos récepteurs. Un voile doré se pose sur nos yeux : on se prend pour un couple de princes du bout du monde ! A table, crustacés, crudités et salades de fruit nous aident à éliminer les kilos de l’hiver. Dehors, on marche, on nage, on joue et ça regalbe ! Conséquences : on ose s’habiller moins strict, plus glamour ; on sourit largement en faisant le marché ; on regarde ses interlocuteurs dans les yeux ; on reprend confiance en soi. En un mot : on devient hyper sexy.

A tel point que sur la plage, on oublie de sortir notre bouquin pour profiter de notre activité préférée : se faire enduire de crème par Monsieur Muscle, c'est-à-dire c’est-à-dire notre conjoint, transformé par ce soleil brûlant qui fait saillir son torse, de nouveau bombé de fierté…

 

Sources : topsante.com

 

Je pense que lorsque le thermomètre atteint des températures caniculaires ..... la libido est comme nous... raplapla !

Je vous souhaite à tous et à toutes un bel été 2009.... ensoleillé mais pas caniculaire !
Partager cet article
Repost0
9 juillet 2009 4 09 /07 /juillet /2009 08:00
La gym du périnée, à quoi ça sert ?

 

Après une grossesse et un accouchement (même par césarienne), le périnée a besoin de faire de lexercice. Cet ensemble de muscles qui soutient les organes génitaux a en effet subi le poids de l'utérus pendant neuf mois. Sans parler du traumatisme de la naissance qui la passablement distendu. C'est encore plus vrai dans le cas d'accouchement avec forceps, de passage de « gros bébé » ou encore de grossesse multiple. L'épisiotomie aussi comporte des conséquences sur l'activité du périnée. Les tissus cicatriciels se contractent moins bien, ils ont perdu de leur réactivité et de leur souplesse.

Et les conséquences d'un périnée affaibli sont nombreuses. A court terme : des fuites urinaires plus ou moins fréquentes et importantes (en toussant, en riant, en se levant, en éternuant) et /ou une diminution des sensations lors des rapports sexuels. A long terme : un risque d'incontinence et ou de descente d'organes vers l'âge de la ménopause.

Bref, après chaque grossesse (et pas seulement la première !), des séances de rééducation s'imposent.


Qui doit faire la gym du périnée ?

Toutes les femmes, après leur accouchement. Eh, oui ! Les femmes musclées et ou sportives ont autant besoin de ces séances que les autres. Leur physiologie ne présage en rien sur la qualité de leur périnée. Quand bien même elles possèderaient un périnée particulièrement tonique, cela ne changerait pas la prescription. En effet c'est la maîtrise des muscles qui importe (contraction et relaxation) et non lintensité de la contraction. Certaines personnes éprouvent dailleurs plus de difficultés à détendre leur périnée qu'à le serrer puisqu'elles entretiennent une contraction permanente qui leur semble « normale ».

Quand commencer la gym du périnée ?

Inutile de commencer à éduquer son périnée pendant la grossesse ! A cette période, l’imprégnation hormonale et le poids du bébé empêchent d’appréhender avec finesse les mécanismes du périnée. Pire, une gym conduite trop tôt peut agacer et décourager pour plus tard.

Idem pendant l’allaitement qui maintient le taux d’hormones au plafond ! Il faut donc en général attendre deux mois après l’accouchement. Evidemment les femmes peuvent aussi exercer leur périnée avant de tomber enceinte mais tout dépend du degré d’intimité que chacune entretien avec son corps. La maternité constitue donc souvent le moment propice pour s’intéresser au problème. D’autant que 10 séances à faire avec un professionnel (sage-femme ou kinésithérapeute) sont obligatoirement prescrites (donc remboursées à 100%) à la maternité.
Reste à choisir la bonne adresse. L’essentiel étant d’être à l’aise et en confiance...

Qui choisir pour la gym du périnée ?

Certaines femmes préfèrent leur sage-femme puisqu’elle a suivi leur grossesse de bout en bout et ont même participé à l’accouchement. D’autres, se tournent vers leur kiné car elles entretiennent avec lui une relation plus complice. Dans les deux cas, la rééducation commence par un touché vaginal afin d’évaluer le manque à gagner. Trois techniques existent pour faire travailler le périnée.

La rééducation manuelle : la patiente sert et détend son périnée autour du doigt de la praticienne.
La rééducation par une sonde vaginale : celle-ci reliée à un moniteur mesure les efforts de contraction et de relâchement demandés par un programme informatique.
Les mamans peuvent aussi choisir la rééducation par éléctro-stimulation mais elles risquent de ne pas apprendre à faire fonctionner leur muscle seules.

Périnée: après la rééducation, la gym continue

L’important de toutes ces méthodes, c’est de permettre aux mamans de comprendre où se situe leur périnée, comment s’en servir et l’exercer un peu chaque jour, bref, devenir autonome. La prise de conscience de ce muscle enfoui à l’emplacement flou, l’apprentissage de ses différentes fonctions et l’habitude de le solliciter un peu chaque jour garantissent une rééducation efficace et durable. En effet, même si la 10ème séance (ou plus en cas de besoin, par exemple après un accouchement difficile) donne lieu à des félicitations, il va falloir poursuivre les efforts de manière quotidienne tout au long de sa vie de femme. En se brossant les dents, en regardant la télé, dans la file d’attente du supermarché… Une fois que le bilan de votre spécialiste sera positif (et surtout pas avant !), vous pourrez vous lancer dans le travail des abdominaux, eux aussi drôlement malmenés pendant la grossesse. Et cette fois, vos efforts seront bien visibles sur la plage…

Sources : topsante.com

Avec la collaboration d’Hélène Todorovitch, professeur d’anatomie appliquée au mouvement (Paris)

 

Petit ajout du 14 août...

Comme me l'a gentiment rappelé Capucine, la sécurité sociale rembourse 10 séances de rééducation périnéale .... et même plus si nécessaire...

Alexandre étant né par forceps et étant (de surcroit) un bébé de 4kg100, j'ai eu besoin de 20 séances de rééducation pour me remettre en forme. Toutes remboursées par la sécurité sociale...


Donc.... il n'y a aucune raison de ne pas le faire !
Partager cet article
Repost0
5 juillet 2009 7 05 /07 /juillet /2009 12:21
Le Dr Sénikies, médecin généraliste, répond aux questions des futures mamans.

femme_questionsgrossesse
Quelle est la différence entre un fœtus et un embryon ?
Entre la conception et la huitième semaine de grossesse, l'enfant dans l'utérus porte le nom d'embryon.
Puis, au fur et à mesure qu'il se développe, il se dote d'ébauches caractéristiques typiques et la tête et les bourgeons des membres apparaissent vers la cinquième semaine.
Entre six et huit semaines le visage prend un aspect plus humain. Le cou se forme, les doigts et les orteils apparaissent.
A ce stade il mesure 2,5 cm environ et prend alors le nom de fœtus, à partir du début du troisième mois jusqu'à la naissance.
Ses mouvements commencent à être perçus par la mère entre la seizième et la vingtième semaine de la grossesse.
Il s'agit au début de petits chocs, de frôlements qui deviennent peu à peu plus important et sont même souvent visibles lorsqu'on regarde le ventre de la mère.
Puis-je continuer mon entraînement à la plongée sous-marine pendant ma grossesse?
Sur le plan expérimental, on a pu constater que des accidents de décompression pouvaient se retrouver chez le fœtus animal sans symptômes particuliers chez la mère.

La circulation fœtale a donc des caractères très particuliers et l'embryon, le fœtus ou encore le placenta lui-même, risquent des accidents de dégazage ou d'asphyxie, lors de la plongée.

Une fois de plus, le principe de précaution s'applique.
Autant il est permis de nager en évitant les efforts trop intensifs, autant la plongée doit être évitée surtout pendant les premiers mois de la grossesse.
A rhésus négatif, ma grossesse est-elle à risque?
Il existe de nouvelles recommandations concernant l'immunisation rhésus.
On doit contrôler de nouveau la négativité des agglutinines irrégulières, ces fameux anticorps, à la visite du sixième mois et vers la vingt-huitième semaine d'aménorrhées, on propose une injection intramusculaire de gammaglobuline anti-D, même si le père présumé est rhésus négatif également.
Auparavant, on ne se préoccupait que des pères à rhésus positif dans cette situation.
En réalité, des études de statistiques ont montré récemment que 10% des pères présumés n'étaient pas les pères biologiques et ce pourcentage est nettement plus important à partir du troisième enfant.
Comme il n'est pas utile de courir le moindre risque et que cette injection est totalement sans danger, la question ne se pose donc pas.

Combien d'échographies puis-je passer ?
L'échographie obstétricale est un examen indolore et inoffensif permettant d'obtenir une image nette du fœtus.

Seuls trois examens sont admis par la Sécurité Sociale sauf problème particulier.
La première, vers la vingtième semaine et la seconde vers la trente deuxième semaine.
Il faut savoir qu'on parle en semaines d'aménorrhées (c'est-à-dire depuis le premier jour des règles précédant la grossesse) et l'âge réel de l'embryon est donc d'environ 15 jours de moins.

La Sécurité Sociale prend également en charge une échographie précoce lorsqu'on n'est pas sûr de la date de la conception et pour rechercher une anomalie (grossesse extra utérine, problème fœtal ou maternel).
L'échographie de la vingtième semaine montre déjà un fœtus bien formé, confirme l'âge de la grossesse et permet de dépister un certain nombre de malformations méconnues auparavant.
Elle est indispensable pour déterminer s'il est utile ou non de pratiquer d'autres examens et en particulier un prélèvement du liquide amniotique qui entoure le fœtus.
La dernière échographie sert surtout à vérifier que tout se passe bien ou qu'il faut prévoir un accouchement difficile. Il est donc inutile d'envisager d'autres échographies pendant la grossesse, à moins qu'un évènement anormal se produise.
La péridurale est-elle dangereuse ?
La péridurale est aujourd'hui une anesthésie très courante qui n'est d'ailleurs pas utilisée que pour l'accouchement mais aussi lors de certaines interventions chirurgicales.
En outre, comme elle n'anesthésie que la partie inférieure du corps, elle permet de vivre normalement l'accouchement puisque ni vous ni l'enfant ne serez endormis.
La technique est simple : vous êtes assise avec le dos arrondi ou couchée sur le coté en "chien de fusil" et une anesthésie locale est d'abord pratiquée.
Puis on fait une injection entre la troisième et la quatrième vertèbre lombaire (ou entre la quatrième et la cinquième) de façon quasiment indolore et avec soit une dose unique de longue durée soit la mise en place d'un petit tube en plastique très fin permettant de réinjecter du liquide à n'importe quel moment. Il existe cependant quelques contre-indications et de très rares échecs du produit.
De plus, elle a tendance à allonger la durée de l'accouchement surtout pour les premières grossesses.
Elle peut également entraîner après l'accouchement quelques douleurs, des maux de tête et, de façon rarissime, une paralysie des membres inférieurs pendant un certain temps.
Quelles sont les conséquences d'une intoxication ?
Le dépistage et la prévention sont essentiels chez la future mère qui peut, d’ailleurs, être responsable ou non d'une intoxication.
Par exemple, les examens radiologiques du petit bassin chez une femme jeune possiblement enceinte peuvent être une cause d’accident, notamment entre la quatrième et la dixième semaine de grossesse où des malformations de l’œil et du système nerveux sont possibles.
Il peut également y avoir des intoxications accidentelles par des métaux lourds liées en général à des problèmes de logement.
C’est le cas par exemple de l’intoxication au plomb qui peut être responsable de prématurés et de retard psychomoteur sévère.
D’autres toxiques peuvent être liés directement à la mère comme le tabac qui augmente la prématuré et diminue le poids de naissance avec des risques de retard de croissance voire chez les nourrissons de mort subite.
Quant à l’alcool, il accroît également le risque de mort fœtale mais aussi de retard de croissance et surtout de troubles neurologiques ou cardiovasculaires.
Enfin, les drogues, en dehors des risques propres sur la mère, ont des retombées sur le fœtus : malformations, lésions cérébrales et parfois véritablement état de manque dramatique à la naissance du bébé.
A quoi sert le liquide amniotique ?
Pendant la grossesse le fœtus est contenu dans une sorte de sac à l'intérieur de l'utérus délimité par une fine membrane dont les cellules secrètent du liquide, le liquide amniotique.
Ce liquide est composé de 99% d'eau, de quelques cellules et de quelques graisses.
Il est effectivement avalé par le fœtus, passe dans son sang et est excrété ensuite par les reins sous forme d'urine.
Le fœtus flotte dans ce liquide tout à fait librement dans les premiers mois de la grossesse en étant relié par le cordon ombilical au placenta qui est l'élément nourricier.
Il sert en fait à éviter les chocs et à limiter les pressions causées par les organes internes de la mère.
En fin de grossesse son volume peut aller jusqu'à un litre, puis il diminue petit à petit dans les derniers jours jusqu'à la moitié avant d'être évacué juste avant l'accouchement.
Les contractions de l'utérus sont-elles inquiétantes ?
Ces contractions brèves et peu douloureuses sont effectivement assez communes et permettent à l'utérus de se développer en facilitant la circulation sanguine dans sa paroi.
On peut les ressentir pendant toute la grossesse et même parfois les observer, mais elles surviennent tout à fait isolément.
Elles n'ont aucun effet sur le col de l'utérus et ne sont pas des contractions de travail, beaucoup plus intenses, plus longues et pénibles. Il n'y a donc pas de raison particulière de vous inquiéter.
Mais si ces contractions changeaient d'aspect ou de durée, retournez voir votre gynécologue.

Sources : topsante.com
Partager cet article
Repost0
3 juillet 2009 5 03 /07 /juillet /2009 06:42

Allemagne - L'Institut pour la qualité et l'efficacité des soins médicaux (IQWIG) recommande aux femmes de prendre leur temps pour perdre le poids accumulé durant leur grossesse. Le secret : un régime équilibré couplé à de l'exercice physique modéré. 

Le poids de grossesse doit se perdre en douceur
Le rapport de l'institut s'insurge contre une perte de poids trop rapide après la grossesse, qui peut être préjudiciable pour l'allaitement.
Une femme perd normalement le poids pris pendant la grossesse en trois à six mois.
Mais pour ne pas avoir trop de kilos à perdre, le régime alimentaire doit être équilibré dès la grossesse.

Le Dr Sawicki, directeur de l'institut, explique : « Éviter les problèmes de poids après la naissance signifie faire attention à manger de façon équilibrée et saine pendant la grossesse. Ce n'est pas une bonne idée de 'manger pour deux' pendant la grossesse et oublier son poids jusqu'à la naissance du bébé, si vous avez déjà des problèmes de poids. »

La moitié des femmes n'arrive pas à retrouver leur poids d'avant grossesse, alors que les efforts fournis par l'allaitement et les soins au bébé suffisent normalement à éliminer ces kilos.

La pression sociale et médiatique incite les femmes à retrouver la ligne le plus vite possible, au risque de compromettre l'allaitement.

Pendant et après la grossesse, un régime alimentaire équilibré est fondamental.

L'exercice physique, s'il a son importance, ne suffit pas à perdre du poids.

Les programmes d'exercices d'après-grossesse, testés pour cette étude, n'ont pas fait perdre de poids supplémentaire aux femmes qui les ont suivis.


Sources : MaxiSciences

De façon générale, perdre du poids trop rapidement est très souvent une mauvaise idée et le meilleur moyen pour tomber dans la spirale des régimes yoyo.
Partager cet article
Repost0
30 juin 2009 2 30 /06 /juin /2009 18:21
Des relations sexuelles plus fréquentes pourraient aider les hommes qui ont des problèmes de fertilité, suggère une étude australienne rendue publique mardi à Amsterdam lors du congrès de la Société européenne de reproduction humaine et d'embryologie.

Au cours de l'étude menée sur 118 Australiens dont le sperme présentait des altérations, des médecins ont découvert qu'un rapport sexuel quotidien pendant une semaine réduisait de manière importante le nombre de lésions dans l'ADN du sperme des patients.

 

Le Dr David Greening de la clinique privée de Sydney IVF, spécialisée dans les problèmes de fertilité, et ses collègues ont demandé aux participants d'avoir une relation sexuelle tous les jours pendant une semaine. Après sept jours, les médecins ont observé chez 81% des sujets une baisse de 12% de la quantité de sperme endommagé. La qualité du sperme peut également être améliorée si les hommes ne fument pas, n'abusent pas de l'alcool, font de l'exercice et ingèrent davantage d'antioxydants.

 

Depuis qu'il a conduit l'étude, le Dr Greening dit maintenant recommander à tous les couples en quête de conseils pour améliorer leur fertilité de commencer par faire davantage l'amour. Une suggestion qui semble contrarier les hommes plus âgés mais ravir les plus jeunes, souligne le médecin.

 

Les rapports sexuels aideraient à améliorer la qualité du sperme en lui permettant de sortir de l'organisme rapidement, selon les experts. Le sperme, précisent-ils, a plus de risques d'être endommagé s'il séjourne longtemps dans l'organisme.

 

Certains spécialistes saluent l'étude, mais ajoutent qu'elle ne prouve pas qu'un rapport sexuel quotidien permet aux hommes ayant des problèmes de fertilité d'avoir plus de chances d'engendrer des bébés. Le Dr Greening et ses collègues sont encore en train d'analyser les résultats de l'étude pour déterminer combien de compagnes de participants sont tombées enceintes.

 

"Etudier l'ADN du sperme n'est qu'une partie du puzzle", souligne de son côté Bill Ledger, professeur d'obstétrique et de gynécologie à l'université de Sheffield, en Grande-Bretagne, qui n'a pas participé à l'étude. "Cela améliorera peut-être les taux de grossesse, mais nous devons encore faire des études supplémentaires."

 

M. Ledger estime également que demander aux couples ayant des problèmes de stérilité de faire davantage l'amour pourrait nuire à leur relation. "Cela pourrait ajouter à l'anxiété et faire plus de mal que de bien." Les couples ne devraient pas se sentir obligés de changer leur vie sexuelle pour avoir un bébé, ajoute-t-il.

 

Sources : Associated Press

Partager cet article
Repost0