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2 juin 2013 7 02 /06 /juin /2013 05:12

On a tous entendu, au moins une fois, ces bons conseils. Mais ça ne veut pas dire qu'il faille les prendre au pied de la lettre...

Mythe n°1 : Ne jamais se baigner juste après déjeuner

On nous l'a assez répété quand on était petite : en allant à l'eau après le raps, on risquerait une hydrocution, un malaise cardiaque résultant d'un choc thermique entre la température frisquette de l'eau et notre surchauffe corporelle pendant la phase de digestion.

En réalité. Notre température corporelle n'augmente que de 1°C pendant la digestion. Et encore, c'est un maximum s'appliquant aux déjeuners copieux. Donc, après un repas normal, rien n'interdit d'aller barboter.
En revanche, prudence si on vient de lézarder longuement sur la plage car la peau, elle a sérieusement chauffé. On y va plutôt progressivement, en mouillant d'abord la nuque et les épaules. 

Mythe n°2 : Allongée sur le sable, on attrape une cystite.

L'été, il y a davantage de cystites. Pas étonnant, croit-on, avec le sable qui s'insère jusque dans le maillot de bain. Or, selon la règle des dénominateurs communs, le sable dans le maillot, ça gratouille et comme la cystite ça gratouille aussi, on en déduit que sable =  cystite...

En réalité. La cystite est une infection urinaire d'origine bactérienne. En cause : e-coli, venue de notre intestin. Rien à voir avec le sable, donc. En revanche, il n'y a pas de fumée sans feu : c'est l'humidité qui favorise la prolifération des germes. Alors, si on est sujette aux cystites, inutile de se priver de plage en croyant prévenir les récidives : on pense juste à ne pas garder sur soi le maillot mouillé.

Mythe n°3 : Sous le parasol, pas besoin de crème solaire !

Cela paraît logique : on n'est pas sous le soleil exactement...

En réalité. Environ 50% des UV que nous recevons ne "tombent" pas du ciel, mais nous parviennent de tous les côtés, et notamment par réverbération sur le sol ou les murs. D'où l'intérêt d'une protection solaire en sus (au minimum d'indice 20). Reste que le choix du parasol est primordial : toutes les toiles ne se valent pas. Ainsi, d'après la Ligue contre le Cancer, mieux vaut choisir un modèle aux fibres synthétiques, celles-ci filtrent mieux les UV que le coton. En ce qui concerne les couleurs, les coloris vifs (bleu ou violet, c'est l'idéal pour filtrer les UV) protègent d'avantage que les couleurs claires.

Mythe n°4 : Pour soulager une piqûre de méduse, on fait pipi dessus

Grâce à la chaleur, l'urine atténuerait la douleur et l'inflammation dues au venin.

En réalité. La meilleure parade reste la crème anti-inflammatoire à la cortisone. Mais si on n'en a pas sous la main, on pratique le système D.
Si l'urine n'est pas le plus mauvais pour rincer la plaie (elle est stérile, à moins d'avoir une cystite), ce n'est pas non plus le meilleur. Nettoyer la blessure à l'eau de mer (et pas à l'eau douce) pendant 30 minutes, le délai nécessaire à la disparition des symptômes. S'il reste des filaments de méduse, on les localise en faisant glisser du sable dessus. Pour les retirer, mieux vaut utiliser des pincesses ou des gants car ils restent urticants de longues heures.

Mythe n°5 : Rien de tel que la citronnelle pour éloigner les moustiques

Son odeur forte les ferait fuir à des kilomètres, du coup, on a posé des bougies à la citronnelle un peu partout. Bonne idée ?

En réalité. C'est vrai, ils n'aiment pas cette odeur. Sauf que le rayon d'action de cette huile essentielle est très limitée et ne tient pas plus d'une heure.

Mythe n°6 : En cas de morsure de serpent, il faut aspirer le venin au plus vite

Le venin peut être mortel, par exemple, celui d'une vipère, surtout s'il arrive jusqu'au coeur. Alors, plus vite on agit, mieux c'est. Non ?

En réalité. Tant qu'on reste dans l'Hexagone, il y a peu de chance de se trouver face à un serpent très méchant. Il n'y a guère que la vipère qui soit venimeuse. Et à moins de faire une réaction allergique très forte (et très rare), on a toujours le temps d'aller aux urgences (ou de faire le 15). Donc, mieux vaut éviter de faire sortir le venin soi-même. On ne coupe pas. On n'aspire pas. D'abord parce qu'on risquerait d'avaler du venin, ensuite, parce que même les pompes aspirantes ont une efficacité limitée. Leur périmètre d'action est en effet trop réduite par rapport à l'envergure des crochets d'une vipère et elles n'aspirent pas le venin en profondeur (on réserve plutôt l'aspivenin aux piqûres de guêpes).

Mythe n°7 : Ecorcher un grain de beauté, c'est dangereux0

Quand on randonne en short et en débardeur, arrive ce qui doit forcément arriver : on écorche un grain de beauté. Et s'il évoluait vers quelque chose de plus grave ?

En réalité. Une blessure ne peut pas faire évoluer un grain de beauté en cancer. Même si on le fait saigner en le grattant ou en s'accrochant à un bijou. Il suffit de bien nettoyer la plaie avec une lotion antiseptique, de poser dessus un pansement pour la protéger le temps que ça cicatrise pour éviter de se blesser à nouveau. Ensuite, on continue à se faire surveiller régulièrement comme avant par son dermatologue. En revanche, si un grain de beauté sagine spontanément, mieux vaut le faire examiner immédiatement.

Sources : Avantages n°263 d'août 2010

Bon je sais, pour ça.... il faudrait que les beaux jours arrivent enfin !

Après un printemps plutôt humide, gris et capricieux, espérons que l'été sera beau !

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19 mai 2013 7 19 /05 /mai /2013 05:13

 

Lavande vraie ou officinale : la "tout-en-un"

Ultrapolyvalente, c'est la base de l'armoire à pharmacie. Très apprécie dans les troubles liés à l'anxiété, elle se révèle aussi particulièrement utile contre tous les petits problèmes de peau et en cas de digestion difficile. Elle permet même de lutter contre les poux !

On en fait quoi ?

* Une piqûre d'insectes, un coup de soleil ? On applique 2 à 4 gouttes de lavande sur la zone irritée.
* Contre les boutons ? On la mélange à un peu d'huile essentielle de tea tree (une goutte de chacune) et on l'applique point par point.
* Comme répulsif anti-poux ? On pose 2 gouttes à la base des cheveux ou sur l'élastique de la queue de cheval.
* Contre les coups de stress ou après les repas trop riches ? On en pose 1 goutte sur le plexus solaire ou en avale 2 gouttes dans une cuillerée de miel.

Tea Tree : l'anti-infectieuse

C'est l'ennemie jurée de toutes les infections : ORL, cutanées, buccales... Mais elle est également antiseptique et anti-fatigue : à toujours garder à portée de main, surtout en voyage !

On en fait quoi ?

* Contre les mycoses ou les verrues ? On en applique 2 gouttes sur la peau infectée ou un la dilue dans une cuillerée d'huile végétale, si la surface atteinte est étendue.
* On peut également en déposer une goutte sur sa brosse à dents ou s'en frotter les mains après lavage pour une hygiène impeccable.

Menthe poivrée : l'alliée de la digestion

C'est l'alliée de choix contre les troubles digestifs (nausées, lourdeurs d'estomac, ballonements). On apprécie son parfum frais, mais il est impératif de respecter les doses car elles est très puissante.

On en fait quoi ?

* Une goutte sur un morceau de sucre après le repas facilite la digestion, mais c'est aussi un remède radical contre le mal des transports.
* On peut également l'associer aux huiles essentielles de citron et de basilic tropical dans la tisane des lendemains de fêtes (une goutte de chacune  dans une cuillerée de miel).

Précautions d'emploi

Dans tous les cas, on évite d'en donner aux enfants de moins de 6 ans, ainsi qu'aux personnes âgées. 

Citron : la fortifiante

Stimulante, l'huile essentielle de citron est idéale, en cas de fatigue, d'infections répétées ou de troubles hépatiques. Elle agit aussi très efficacement sur la circulation sanguine et, en diffusion, assainit l'atmosphère.

On en fait quoi ?

* En cas de fatigue ou de coup de froid, 2 gouttes dans un grog font des miracles.
* Une goutte dans une tisane verveine-menthe en fin de repas soutient les foies difficiles tandis que diluée dans 10 fois son volume d'huile végétale d'arnica, en massages sur les zones concernées, elle stimule la microcirculation.

Précautions d'emploi

Attention, elle est formellement déconseillée en application pure (car très caustique) ou avant une exposition solaire !

Géranium rosat : l'équilibrante

Idéale pour les peaux grasses, en cas de troubles nerveux ou hormonaux, elle régule aussi le taux de glycémie : parfaite pour contrôler son appétit !

On en fait quoi ?

* Anxiété, stress ? On en masse une goutte sur le plexus solaire ou le poignet.
* Bobo ou bouton ? Une goutte sur un coton-tige.
* En plein jet lat ? Mélangée aux huiles essentielles de pamplemousse et de camomille (10 gouttes de chacune) on en verse 2 gouttes sur son gant et on se frictionne sous la douche. 

Palmarosa : l'amie des jolies peaux

Antibactérienne, hydratante, cicatrisante et stimulante cellulaire, son utilisation régulière est une assurance contre tous les petits soucis cutanés.
Elle lutte même contre la embarassants problèmes de transpiration ! 

On en fait quoi ?

* Au quotidien, une goutte mélangée à sa crème du jour habituelle régule la sécrétion de sébum, hydrate et régénère la peau.
* Pour contrôler la transpiration, on en applique quelques gouttes sous les aisselles, la paume des mains ou la plante des pieds, et on limite ainsi la sécrétion de sueur et les mauvaises odeurs. 

Ravintsara (cinnamomum camphora) : l'antiseptique

Si l'on ne devait choisir qu'une seule huile essentielle contre les petits maux de l'hiver, ce serait celle-ci.
Antivirale, antiseptique et expectorante, elle stimule le système immunitaire et lutte contre la fatigue nerveuse et physique.
Elle est aussi très efficace contre la grippe, les infections des voies respiratoites et même contre la gastro-entérite. 

On en fait quoi ?

* Dès les premiers froids, on prend l'habitude de diffuser matin et soir un mélange ravitsara, citron et eucalyptus radié.
* Si le mal est déjà fait, deux options pendant 3 jours maximum :
   - une goutte dans un peu de miel quatre fois par jour
 ou
   - 3 gouttes en massage sur la colonne vertébrale et le thorax, matin et soir.

Ylang-ylang : la tranquilisante

Huile essentielle paradoxale, l'ylang-ylang est à la fois stimulante et calmante.
Elle booste les libidos endormies comme elle vole au secours des angoissés.
Calmante, anti-stress, elle lutte aussi contre les troubles du sommeil et les petites déprimes passagères et désinhibe même en douceur les timides.
Si on n'apprécie pas son parfum capiteux, on peut se tourner verse le petit grain de bigarade aux délicats effluves de fleur d'oranger. 

On en fait quoi ?

* On se fait couler yb grabd baub cgayd (37-38°c), dans lequel on verse quelques gouttes diluées dans un peu de lait : détente et nuit réparatrice assurées.
*  Son parfum suave et envoûtant est aussi très agréable en diffusion ou en massage, diluée dans une huile végétale type amande douce pour un effet tonique.

Camomille noble ou romaine : la bonne fée des tout-petits

Cette huile essentielle anti-inflammatoire et sédative est idéale pour soigner les bosos des enfants, mais elle est aussi très appréciée des plus grands pour son action almante spectaulaire.

On en fait quoi ?

* Si le petit dernier a du mal à s'endormir, on lui fait respirer le flacon ouvert.
* Si ce sont ses premières dents qui le gênent, on masse la gencive d'un doigt, avec une goutte de camomille diluée dans 2 gouttes d'huile végétale de millepertuis ou, plus doux, d'hydrolat de camomille romaine.
* Chez l'adulte stressé, elle fait des miracles à raison de quelques gouttes pures sur le plexus, la voûte plantaire et les poignets. 

Immortelle (Helicryse italicum) : la réparatrice

Des coups, des bleus, des bosses ? L'immortelle s'impose (mais elle est chère).
Anti-hématomes, anti-inflammatoire, elle a d'excellente vertus cicatrisantes sur les plaies et les brûlures, mais aussi sur les fractures ou les entorses. Ca tombe bien, elle convient parfaitement aux enfants (à partir de 7 ans)

On en fait quoi ?

* On la dilue dans de l'huile végétale (2 gouttes dans une cuillerée à café) et l'on masse les zones douloureuses. On en applqieu une goutte, mélangée à deux gouttes d'huile de rose musquée sur les cicatrices.

Précautions d'emploi

En revanche, on évite de l'absorber car elle peut-être légèrement toxique.

Sources : Avantages n°254 de novembre 2009

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6 mai 2013 1 06 /05 /mai /2013 05:37

 


Baie_de_Goji.jpg

Qu'est-ce que c'est ?

"Goji" est le nom donné aux fruits d'una rbuste, le lyciet commun. Ces petites baies oblongues rouge orangé et légèrement acidulées sont devenues incontournables dans les boutiques bio, qui les proposent notamment sous forme de jus. Leur goût n'est pas formidable, mais elles regorgent d'oligoéléments (zinc, fer, cuivre, sélénium...), de vitamines B et C, de carotène et de calcium.

C'est bon pour ?

* Réduire le stress.  Cette plante "adaptogène" est un stimulant général. Elle régule nombre de processus biologiques, comme l'activité de la glande surrénale qui sécrète les hormones du stress. Elle permet donc de renforcer l'adaptation de l'organisme aux situations stressantes.

* L'immunité.  Ses vertus stimulantes renforcent le système immunitaire, souvent malmené en hiver.

 

* Les capacités cognitives.  Grâce à leurs propriétés antioxydantes, les baies de goji préviennent le vieillissement de l'organisme, protègent le système nerveux et aident ainsi à lutter contre le déclin cognitif. Elles pourraient même s'avérer utiles dans la prévention de la maladie d'Alzheimer. Pour les jeunes, c'est la solution idéale pour lutter contre la fatigue, se donner un coup de fouet avant une épreuve et aussi rester concentré.

Sous quelle forme ? 

 

On les trouve le plus souvent sous forme de baies séchées ou de poudre de fruits secs, en gélules.

 

En quelle quantité ? 

 

Une à deux cuillères à café de baies séchées (ou 2 à 6 gélules) par jour suffisent. Les cures devront être temporaires. L'idéal étant d'agir en prévention, en débutant quelques semaines avant une période profesionnelle chargée ou un évènement stressant, par exemple.

 

C'est déconseillé ? 

 

Aux personnes qui prennent un traitement anticoagulant, car des risques d'interaction sont possibles. A éviter aussi en cas de transplantation du foie, au risque d'aggraver les dommages hépatiques du à l'opération.

Sources : Prima (n°367 de mars 2013) et wikipedia (photo)

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29 avril 2013 1 29 /04 /avril /2013 05:20

Certaines herbes prises en inhalations sont efficaces en cas de rhume ou de légère bronchite.
La vapeur dilate les voies nasales, ce qui permet aux principes actifs de ces herbes de passer dans le sang et de soulager le malade.
Il suffit pour cela de disposer d'un bol d'eau bouillante, d'une serviette épaisse, d'herbes fraîches ou d'extraits prêts à l'emploi. 

Herbes fraîches

Ecrasez ou hachez 25 à 50 g d'herbess fraîches et ajoutez 600 ml d'eau bouillante. La tête recouverte d'une serviette, inhalez les vapeurs pendant 5 minutes, deux fois par jour.

Huiles essentielles

Versez 3 à 4 gouttes d'huile essentielle dans 600 ml d'eau bouillante.
La tête recouverte d'une serviette, inhalez les vapeurs pendant 2 minutes, deux fois par jour.

inhalations.jpg

Bon à savoir

Choisissez plusieurs herbes indiquées pour vos symptômes, le traitement sera plus efficace.

Il est conseillé aux personnes sujettes au rhume des foins de réduire la durée de l'inhalation.

Sources : Fiches des Editions Atlas

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25 avril 2013 4 25 /04 /avril /2013 05:09

Vous avez besoin de décompressez ?
Vite un bain chaud au parfum gourmand, pour une évasion vers les îles à peu de frais !

Ingrédients
* 20 gouttes d'extrait de vanille 
* 100 cl de lait de coco
* 2 gousses de vanille

Préparation
* Remplissez la baignoire d'eau chaude.
* Ajoutez le lait de coco ainsi que l'extrait de vanille.
* Brassez l'eau pour que les ingrédients se mélangent bien avant de se glisser dans le bain.
* Laissez flotter les gousses de vanille pour des effluves encore plus enveloppantes. 

Sources : Modes & Travaux - n°1320 de novembre 2010

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16 décembre 2011 5 16 /12 /décembre /2011 12:02

Découvrez les principes du régime citron, idéal pour chasser les toxines de votre corps et éliminer les kilos superflus sans danger.

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/e/e4/Lemon.jpg/800px-Lemon.jpg

Depuis plusieurs siècles, on prête au citron de nombreuses vertus détoxifiantes pour l’organisme.
En effet ce petit agrume fut longtemps utilisé comme remède contre les poisons et les maladies.
Désormais, il s’impose comme un véritable allié minceur et bien-être, grâce à ses propriétés brûle-graisse et dépuratives, qui font le bonheur des dames.

Le but du régime citron est donc de tirer parti de l’ensemble des bienfaits de ce fruit afin de perdre du poids sans perdre la forme, tout en gardant une alimentation saine et équilibrée. Pour cela le citron doit être présent à chaque repas, du matin au soir et sous toutes ses formes.

Les plus

Le régime citron est facile à suivre et ne présente que peu de risques d’être démotivée, contrairement à d’autres régimes ou les privations sont nombreuses.
L’ensemble des aliments ‘sains’ étant accepté, le sentiment de frustration est relativement limité.
Cette technique minceur purifie votre organisme et vous apporte un réel sentiment de bien-être, n’hésitez pas à le mettre en pratique 2 fois dans l’année.

Les moins

Attention toutefois à celles qui sont sujettes aux brûlures d’estomac et qui souffrent de troubles rénaux, les zestes de citron sont alors déconseillés.

Durée et Efficacité

Comptez environ 3 semaines pour voir vos kilos superflus disparaitre, cependant ce chiffre varie en fonction de votre surcharge d’origine et de votre activité physique. La perte de poids sera d’ailleurs plus intense si vous pratiquez du sport régulièrement.

Pour en savoir plus : Le régime citron de Thérésa Cheung et Dr Martine André, éditions Leduc.


Sources : avantages.fr et wikipedia.org

Je pense que j'essayerai ce régime au début de l'année 2012. Je vous en reparlerai à ce moment-là...

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12 décembre 2011 1 12 /12 /décembre /2011 07:58

Qu'est-ce que c'est ?

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/fr/thumb/1/11/Grandebardane1.jpg/799px-Grandebardane1.jpg

Cette plante haute de 1 m environ, porte des fruits hérissés de crochets qui ont la fâcheuse tendance à s'accrocher aux vêtements ou aux poils des animaux.
Ils ont d'ailleurs inspiré l'inventeur du Velcro !
La bardane offre des propriétés antiseptique et anti-infectieuse.
Son usage traditionnel est reconnu par l'Agence européenne du médicament.

C'est bon pour quoi ?

* Détoxifier l'organisme.
Une cure de bardane aide le corps, notamment le fpfoie, a éliminer les molécules toxiques (médicaments, produits chimiques, toxines produites par l'organisme...)
Purifier la peau. En décoction, elle peut servir de lotion nettoyante.
Par voie orale, ses propriétés détoxifiantes et drainantes aident à lutter contre la peau grasse, l'acné, l'eczéma, le psoriasis...
* Prévenir les infections urinaires.
Les infusions de badiane augmentent le volume des urines, ce qui aide à traiter l'infection.

Sous quelle forme ?

En Asie, on consomme les racines fraîches comme un légume.
Mais en Europe, on la trouve sous forme de teinture-mère, d'extrait de plante fraîche standardisé (EPS) ou de feuilles et de racines séchées.

En quelle quantité ?

La bardane se consomme sous forme de cures, entrecoupées de pause pour reposer l'organisme.
On peut en prendre chaque jour durant trois semaines, stopper pendant une semaine, et recommencer.
Sous forme de teinture-mère, comptez 50 gouttes matin et soir.
En EPS, une cuillère à café le matin.
En infusion, trois fois par jour à raison de 3 à 6 f de bardane séchée par tasse.

On la trouve où ?

En Asie, mais aussi en Europe sur le bord des chemins de campagne, dans des cols calcaires.

C'est déconseillé

* En case de crise de calculs néphrétiques.
Les voies urinaires étant ostruées, l'effet diurétique de la bardane risque de provoquer une augmentation de la pression, particulièrement douloureuse, en amont de la vessie.
* En cas d'allergie aux plantes de la famille des astéracées (camomille, pissenlit, échinacée, armoise...)
* En cas de grossesse. Elle pourrait avoir un effet stimulant sur les contractions utérines.

* Plus généralement, son usage est plutôt réservé aux plus de 18 ans.

Sources : Prima n°349 de septembre 2011 & wikipedia.org

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12 août 2011 5 12 /08 /août /2011 06:04

Comme vient le rappeler le 14ème congrès de la Société européenne de transplantation d'organes, on manque de greffons : la liste d'attente fait état d'un besoin de 6853 reins, 669 foies, 300 coeurs.
En 2008, 222 personnes sont décédées, fautes de greffe.
Selon la loi, nous sommes tous des donneurs potentiels, à moins de s'être inscrit sur le Registre National des refus.
Mais par éthique, le corps médical demande l'autorisation à la famille. Il suffit d'un seul membre pour empêcher le prélèvement. Or, le refus familial s'élève, en France, ) 30%.

Préparer ses proches

http://chtilili.c.h.pic.centerblog.net/az4g82hi.gifUn refus qui s'explique d'abord par le manque d'information et de préparation.
Jean-Pierre Scotti, président de la fondation Greffe de Vie, insiste : "Si le sujet n'a jamais été abordé, difficile pour une famille dans la peine, de prendre une décision. Si vous voulez faire don de vos organes après votre décès, parlez-en à vos proches. Cela leur évitera une prise de décision difficile, d'autant que la plupart redoutent une atteinte à l'intégrité du mort. Or, il faut savoir que l'apparence du corps ne changera pas."
Par ailleurs, la mort, avant, faisait partie de la vie. "Aujourd'hui, avec le développement des techniques médicales et l'individualisation de la société, la mort n'est plus acceptable et on a tendance à la nier", prévise le Pr. Bernard Charpentier, chef du service de néphrologie du CH Bicêtre de Paris.

Il n'y a pas d'âge pour être donneur

http://www.soshepatites.org/images/imgcontenu/brochure_don_d_organes.jpg"29% des reins viennent de donneurs de plus de 60 ans. En 2008, 2,2% des donneurs avaient moins de 16 ans et 33,5% de plus de 60 ans. C'est l'état physiologique du donneur et les circonstances de la mort qui décident, non son âge", précise le Pr. Yvon Lebranchu, chef du service de transplantation rénale du CHU de Tours.
Chaque année, le nombre de personnes en attente de greffe augmente. Or, si on prélève en moyenne 5 organes, c'est 5 vies qui peuvent être sauvées ou améliorées.
C'est un bel exemple d'altruisme de la part de celui qui décide de soutenir la vie après sa propre mort.

Sources : Prima n°327 de novembre 2009

Refuser de donner un organe d'un proche ne le réssucitera pas. Par contre, donner un organe d'un proche décédé peut empêcher une autre famille de devoir faire le deuil d'un être aimé....

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20 juillet 2011 3 20 /07 /juillet /2011 08:03

Voici quelques petits trucs pour réduire votre consommation de sel au quotidien... et éviter de gonfler !

1. Gardez l'oeil sur les étiquettes

l'Anses, Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail préconise officiellement de diminuer la consommation moyenne de sel, pour parvenir à des apports de 7 à 8 grammes par jour.

Une recommandation pas très évidente à suivre car le sel est parfois difficile à repérer. Il se cache dans une multitude d'aliments : le pain, la charcuterie, certains fromages, les plats préparés... Il y en a même, à l'état de trace, il est vrai, dans des produits sucrés (sodas, yaourts).

Pour y parvenir, les industries agroalimentaires doivent faire des efforts : réduire la teneur en chlorure de sodium des aliments et améliorer l'information en adoptant un meilleur étiquetage. En attendant, on peut déjà, jour après jour, limiter nos apports en suivant ces quelques conseils.

 

2. Ayez la main légère en cuisinant

Préparez vos menus le plus souvent avec des produits frais qui n'ont subi aucune préparation. Les légumes, les viandes et les poissons ne contiennent naturellement que très peu de sel. Mais, dès qu'ils sont en conserve, surgelés ou cuisinés, leur teneur augmente considérablement (conservation...).

Assaisonnez vos aliments de préférence pendant la cuisson plutôt qu'après. Cela laisse le temps au sel de les imbiber. Résultat : un goût plus corsé avec, cependant, une quantité utilisée bien moins importante.

Misez sur les épices et les herbes aromatiques pour relever un plat. Abusez-en pour donner des saveurs insoupçonnées mais tout aussi parfumées à vos menus. La santé sera au rendez-vous !

3. Réduisez progressivement vos apports quotidiens

En 15 jours environ, le palais s'habitue et apprécie peu à peu les saveurs nouvelles et moins prononcées.

Ne salez pas systématiquement vos plats avant de les avoir goûtés. Optez pour une salière dotée d'un seul trou de petite taille, qui permet de limiter la quantité versée dans l'assiette.

Evitez d'associer lors d'un même repas des aliments salés. Par exemple, avec un plat préparé type quiche, moussaka ou soupe, préférez une salade, des pâtes ou du riz plutôt que du saumon fumé, de la charcuterie ou du fromage.

4. Où le sel se cache-t-il ?

Le sel se glisse partout, et même dans des aliments sucrés ! Démonstration.

- 1 bol de 40 g de corn flakes = 0,96 g de sel
- 1 BN au chocolat = 0,14 g de sel
- 1 quart de baguette = entre 1 et 1,34 g de sel
- 1 bol de 25 cl de soupe aux poireaux en brique = 1,78 g de sel
- 150 g de jeunes carottes extrafines en conserve = 1,14 g de sel
- 150 g de jardinière de flageolets, carottes et pommes de terre en conserve = 1,49 g de sel
- 100 g d'escalope cordon bleu sous vide = 2,32 g de sel
- 1 tranche de saumon fumé = 1,51 g de sel
- 50 g de cacahuètes grillées = 1,23 g de sel
- 1 canette (33 cl) de cola = 0,03 g de sel
- 1 yaourt velouté nature = 0,13 g de sel
- 1 croque-monsieur sous vide = 1,17 g de sel
- 1 crêpe au jambon surgelée = 1,25 g de sel

Sources : " Que Choisir " & TopSante.com

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19 juillet 2011 2 19 /07 /juillet /2011 09:00

Un excès de calories n'est pas le seul responsable de notre prise de poids. Une mauvaise régulation des bactéries présentes dans l'intestin pouvait inciter notre corps à accumuler les kilos.

Selon le principal auteur des travaux qui ont abouti à cette conclusion, Andrew Gewirtz, de la Emory University School of Medicine en Géorgie, "un excès de consommation de calories n'est pas seulement le résultat d'une alimentation excessive, les bactéries intestinales contribuent à modifier l'appétit et le métabolisme".

L'absence d'exercices physiques, l'absorption abondante de nourriture hautement calorique ou encore de rares anomalies génétiques ne seraient donc plus les seuls facteurs en cause de l'obésité. Une inflammation de la flore intestinale par certaines bactéries engendrerait une augmentation de l'appétit et des risques de diabète.

Réguler la flore avec des prébiotiques

A l'inverse des probiotiques, les prébiotiques ne sont pas des éléments "vivants". Ils servent d'aliments aux premiers, favorisent le développement de la flore intestinale et empêchent la prolifération des bactéries. Les prébiotiques permettent donc de mieux digérer, de se défendre contre les infections... et de garder un ventre plat.

D'autres études encore suggèrent que les prébiotiques favoriseraient l'assimilation des minéraux comme le magnésium ou le calcium.

Où les trouver ?

Les prébiotiques se trouvent naturellement dans les poireaux, les salsifis, l'ail, les bananes, la chicorée, les artichauts ou encore les asperges.

Sources : TopSante.com

Une raison de plus pour manger des poireaux et utiliser l'ail pour aromatiser ses plats !

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